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how to sell drugs — petra & kingston

PUISSIEZ-VOUS MOURIR POUR VOTRE MAÎTRE.
how to sell drugs
jakarta&@petra&@kingston #1

Les mots filaient, se glissaient entre les bouches et parvenaient fréquemment aux oreilles du Roi Robuste. Les nouvelles fusaient, et tout finissait par se savoir un jour. Si Jakarta n’avait jamais été à l’abri d’un opposant au titre de Roi, ni même d’un sournois arnaqueur au milieu de ses membres, il savait que les plus fidèles et les plus loyaux des Robustes finiraient par balancer. Parce que les Rouges sont peut-être téméraires et brutes, mais ils ne sont pas dénués d’un sens du devoir, de la justice ou de la loyauté. Chez lui, il savait qu’il pouvait prendre appui sur son seigneur et son gouverneur, sans chercher davantage. C’était ainsi, qu’ils étaient nommés, choisis. Ça ressemblait pas tellement à une démocratie, les Rouges, ça l’avait jamais été après tout. C’était la loi du plus fort qui primait. Et quoi de mieux qu’une force surhumaine pour imposer sa loi auprès des siens ? Salué, respecté, c’était tout ce qu’il demandait. Était-ce trop, pas assez ?
Visiblement, quelques-uns devaient estimer que cela n’était pas suffisant, car il avait fallu qu’on vienne l’informer qu’une robuste semblait traîner un peu trop en compagnie d’un exilé. Pour en avoir le coeur net, Jakarta avait demandé à ce que l’on se renseigne davantage mais il était difficile de jouer réellement les espions en ces lieux. Il lui fallait donc suivre Petra, la principale intéressée, celle qui semblait ne pas être bien droite dans ses baskets. Afin de ne pas éveiller trop son attention, il avait décidé de faire examiner les principaux points de rencontre qu’elle pouvait avoir avec ce fameux exilé. Qu’ils entretiennent une relation amoureuse clandestine n’était pas un problème pour lui, mais l’insistance de son informateur lui avait mis la puce à l’oreille.

À dos de son cheval blanc, Jakarta pénétrait enfin sur les Terres des Monarques, terres luxuriantes, blanches comme neiges s’il fallait en croire le nom. Une aubaine que la transaction possible se passe sur les Terres qu’il visitait le plus, après ses propres terres sanglantes. Sans oublier évidemment les herbes vertes, m’enfin, ça dépendait de son humeur, cet endroit. Quoi qu’il en soit, il avançait à pas menu sur un territoire familier, à la recherche de la silhouette de la demoiselle qui se faufilait dans la pénombre du soir tombant. Jakarta décida finalement d’attacher son cheval à la maison d’un ami monarque, profitant de l’occasion pour lui faire cadeau de quelques bibelots récupérés récemment dans la magasin.
Il progressait en tentant de se fier à la faible luminosité avoisinante, glissant au milieu des ruelles menant droit vers le Casino. Intrigué, Jakarta poursuivit sa route sur les pas de la demoiselle, débouchant rapidement dans le lieu mythique, avec différents jeux et ses croupiers qui n’attendaient que de nouveaux dépensiers. Il salua ceux qu’il connaissait comme si de rien n’était tout en gardant Petra dans son champ de vision. Mais rapidement, elle disparue, volatilisée, la petite.
Serrant les dents, fermant les poings, Morgan commençait déjà à en avoir marre. Il fureta entre les machines pour finalement la découvrir dans un recoin, en compagnie d’un étrange homme à la peau foncée et aux dreadlocks. Le sang du Roi ne fit qu’un tour, tandis qu’il s’approchait dangereusement des tourtereaux. « Je te dérange pas, peut-être ? J'interromps quoi, dis-moi ? Un bécotage, un échange ? Pire ? Nan mais dis-moi tout, tant qu'on y est. Je vais pas en faire tout un plat ... » en lançant un regard réprobateur à Petra avant de faire rouler ses yeux assassins sur l'exilé.


Jakarta
Jakarta
roi des robustes
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boyd holbrook
Bambi eyes
22/05/2020
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How to sell drugsKingston, Jakarta et Petra "C'EST QUI LE PATRON, MAINTENANT, HEIN ? DIS-MON NOM, DIS-LE !!!!!" Des jetons de blackjack valsèrent dans les airs. Encore lui ? Non, pas ça.

Eh bien si, Kingston venait de remporter (par des moyens plus ou moins licites) sa troisième partie de blackjack en une soirée. Le jeune homme n'hésitait pas à manifester à grand bruit son contentement en insultant copieusement ses compagnons de jeu. "Alors, bande de victimes !! Je vous l'ai bien mise, pas vrai ?" Il fit un signe au croupier, qui n'osait regarder l'agitateur dans les yeux. "Croupier, envoie moi cette monnaie, que je garnisse mes poches." En quelques mouvements hésitants et maladroits, le croupier s'exécuta et les dents argentées de Kingston scintillèrent de plaisir à l'arivée du tas de jetons multicolores. Pareil à une pie, le trafiquant était sujet à une fascination étrange pour tout ce qui brillait, et l'éclat envoûtant des jetons de casino l'excitait tout particulièrement.

Il termina d'une traite ce qu'il restait de son Martini, et se mit à attendre la partie suivante, un sourire triomphant aux lèvres.
Il passait la soirée au casino de la Pangée, le Pink Flamingo, situé au coeur des Terres Blanches. Là où les riches (où ce qu'il s'en rapproche le plus dans une société en proie à l'apocalypse) se pavanent jour et nuit dans leurs sapes de luxe, accoudés à leurs femmes trop parfaites. Il prenait plaisir à déteindre sur le reste de la clientèle, parés de costumes en velours et de chaussures soigneusement cirées. Des têtes indignées se tournaient quand il pénétrait dans l'établissement, lui, le cliquètement de ses chaînes, son pull trop large et sa paire de Jordan's. C'était trop bon de les bousculer dans leur quotidien factice, fait de mondanités triviales.

Kingston attendait Petra, son indic chez les Robustes. Bon nombre de hauts placés de la Pangée, venaient s'approvisionner en drogue chez lui, mais Petra était peut-être la plus importante de ses clients. Les deux Volontaires avaient conclu un deal très simple : je te fournis gratuit, mais je veux plus être dérangé par tes potes en rouge. Depuis, Kingston menait la belle vie, et Petra s'envoyait au treizième ciel à l'oeil avec des benzoates offerts par la maison.

Il devait la retrouver ici, à la table numéro quinze du Pink Flamingo. Kingston avait eu une demande spéciale, cette fois : il voulait une arme à feu. Il savait que les Robustes étaient dotés d'un arsenal bien fourni, et il voulait, lui aussi, croquer un coup : son propre flingue, comme à l'époque de Walworth, au quartier. Au cas où ses pouvoirs le laisseraient tomber, il pouvait tout aussi bien sortir un calibre et cribler de balles ses potentiels ennemis.

Une tête blonde se dégagea de la foule : Petra était là. Kingston sourit de plus belle. Il était toujours content de la voir ; la Robuste était, bien souvent, accompagnée de bonnes nouvelles. " Hey, belle blonde. T'as apporté mon cadeau ?" glissa-t-il à son oreille sans quitter la table du regard.
Sans attendre de réponse, il quitta brutalement la table et lui fit signe de le suivre. Ils ne pouvaient décemment pas effectuer telle transaction en plein milieu du casino, en proie à l'effervescence en ce samedi soir. Kingston aperçut un recoin isolé, à l'écart de la surveillance inquisitrice de la sécurité, et s'y planqua avec sa partenaire. " Fais-moi voir ça. C'est un Magnum, un Smith & Wesson ? J'espère qu'il est chargé... tu ne penses pas que.."

Il n'eut le temps de finir sa phrase. Une voix rauque gronda derrièr
e eux, frappée d'un accent du New Jersey, jointe par un pas lourd et puissant. La sécurité ?
"Je te dérange pas, peut-être ? J'interromps quoi, dis-moi ? Un bécotage, un échange ? Pire ? Nan mais dis-moi tout, tant qu'on y est. Je vais pas en faire tout un plat ..."

Oh, merde. Un camarade Robuste. Pas n'importe lequel, à en juger par le regard figé de Petra.
Le type avait tout du paramilitaire américain : grand, blond, la barbe taillée au sécateur. Des bras puissants, larges et saillis de muscles, construits avec minutie par des heures d'entraînement dans les Terres Rouges. En fait, Kingston cherchait un endroit de son corps qui n'eût pas été bardé de tendons et de tissus musculaires en contraction, et il avait du mal. Son regard était mauvais, très visiblement déçu par sa camarade. Sa bouche laissait imaginer un sourire charmeur, si le colosse eût déjà souri une fois dans sa vie, ce dont Kingston doutait très fortement.

" C'est qui, ça, Petra ? Un de tes camarades Robustes, c'est ça ?" lança Kingston. "Tu ferais mieux de la laisser tranquille, toi. Si elle veut traîner avec des Exilés, elle traînera avec des Exilés, que ça te plaise ou non." Il rendit son regard au gorille blond avec défiance. Il sentait la merde arriver à plein nez, et commençait à chercher, du coin de l'oeil, de potentielles échappatoires.


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Kingston
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Kingston
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How to sell drugs
ft @Jakarta @Kingston


—Petra ne cessait de retourner le papier qu’elle tenait dans ses mains depuis qu’on le lui avait glissé sous la porte, une heure plus tôt . Une adresse y était griffonnée, celle du lieu de rendez-vous avec Kingston avec qui elle avait passé un marché, la tranquillité contre quelques cachets acidulés. C’était son seul méfait depuis son entrée dans le clan de l’autorité, elle qui participait aux missions sans n’émettre aucunes oppositions, suivant les ordres . Étant l’une des rares femmes que comptait sa faction, quand bien même son utilité et sa capacité étaient acquises, elle sentait toujours que chacun de ses faits et gestes étaient épiés, critiqués .

Le soleil commençait doucement à tomber sur la Pangée, éclairant les rues de la cité d’une douce lumière rougeâtre quand Petra pénétra dans les terres de Monarques dont elle dépassait les bâtisses singulières, riches et fantasques, à leur image. Le vent frais, salvateur après la forte chaleur de la journée s’engouffrait dans sa robe noire et sa longue veste de cuir tandis qu’elle arrivait devant une lourde porte surmontée d’un néon représentant un flamant rose.
 
Poupée n’avait jamais mis les pieds dans un casino, elle ignorait ce qu’était que dépenser de l’argent futilement, d’être grisé lorsque les machines colorées dégueulaient leurs pièces dans un crépitement assourdissant . La gamine était bien trop occupée à fuir le fléau qui avait envahi Chicago, à donner et parer des coups pour subsister un jour de plus dans ce monde qui vacillait toujours plus dans l’obscurité.
 Une silhouette familière se détacha enfin de la foule dense, la présence de l’exilé ne laissait pas les clients indifférents à en juger par les regards qu’il accrochait sur son accoutrement, contraste saisissant avec les vêtements si élégants des monarques. « Bonsoir Kingston ». Elle lui rendit son sourire par mimétisme avant de le suivre jusqu’à un recoin à l’abri des regards indiscrets . « Évidemment, sinon crois-tu que j’aurais fait le déplacement ?». Sa main tapota sur la petite bosse que formait le paquet dans la poche de sa longue, une arme dérobée dans l’armurerie des robustes c’était le prix à payer pour quelques minutes, quelques heures d’évasion, loin de ses démons. Leur échange fut bientôt coupé par l’arrivée de Jakarta, son roi.

Une lueur d’étonnement dansa les prunelles de la blonde bien vite remplacée par la neutralité des traits, contrôle surfait pour cacher l’anxiété grandissante. Petra réprimanda l’intervention de l’exilé d’une regard noir celui ci ne faisait qu’envenimer la situation en agissant de la sorte .« Majesté, de quoi suis je accusée ? N’ai je pas le droit de m’entretenir avec cet homme ? » . Son regard s’ancrait à celui assassin de son souverain dont elle sentait les muscles des bras se contractaient, prêt à frapper si l’occasion se présentait.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj

PETRA
PETRA
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jakarta&@petra&@kingston #1

L’insolence. L’un des péchés à ne pas commettre en présence de Jakarta qui refusait catégoriquement que son autorité soit remise en jeu, quelle qu’en soit la raison. Directeur du camp militaire, il avait rapidement repris ses habitudes de Marin, souvent dur et froid, symbole d’autorité sachant faire taire les arrogants qui débarquaient tranquillement chez les Robustes. Il connaissait le potentiel de ceux qu’il avait choisi et parvenait toujours à les remettre rapidement à leur place. En tant que Roi, il était devenu un symbole d’autorité encore plus fort auprès des siens et au sein de la Pangée elle-même. Bien que sous-estimé par les anciens pour son jeune âge, Jakarta ne s’était jamais fait marcher sur les pieds.
Néanmoins, il semblerait qu’un homme n’ait pas compris à qui il avait affaire. Il pensait sûrement s’être retrouvé auprès d’un jeune Robuste qui jouait les fouines au milieu d’un casino dans lequel il ne semblait pas avoir sa place. Seulement, ce qu’il ne savait pas, c’était que Jakarta était un très bon ami des Monarques, en particulier de ceux qui le dirigeait. Et que cette relation étroite lui offrait un statut privilégié au milieu de ces hommes et femmes raffinés, aux costumes riches et à l’allure élégante.

Petra préférait jouer l’indifférence, comme si elle n’y était pour rien, comme pour se dédouaner de la faute qu’elle venait de commettre. Seulement, lorsque leurs regards se croisèrent, Jakarta eu un sourire narquois. Elle tentait de le berner, de lui mentir ouvertement en jouant la carte de l’innocence quand il avait été mis au courant de toutes ces manigances. « La ferme, toi. J’ai encore rien contre toi donc boucle-la, tu veux, en s’adressant à Kingston d’un ton agressif. Tu serais étonnée à quel point je peux être tolérant, Petra, en se tournant vers elle. La franchise, Petra. La franchise ! » dit-il en posant férocement sa main sur la bosse qui dépassait. Une arme, de toute évidence dérobée. On fournissait les Exilés en arme maintenant ? Tout, mais pas l’arsenal.
« Donne-moi ça et trouve-toi autre chose à leur fournir pour tes pilules. T’as qu’à vendre ton corps tant qu’à faire. On fournit pas les autres clans, nous ! Surtout pas sans passer par moi. Que je t’y reprenne pas ou tu dégages chez eux, je suis bien clair ? »
Jakarta se saisit alors du Magnum en grognant. Si ça n'avait été que lui, il aurait poussé Petra pour la mettre au sol, mais il connaissait les effets de son pouvoir. Il se retint donc, non sans continuer de serrer fermement les poings.


Jakarta
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How to sell drugsKingston, Jakarta et Petra

"La ferme, toi. J’ai encore rien contre toi donc boucle-la, tu veux." avait aboyé le grand blond, d'une voix sourde et éraillée. Kingston sentit son sang chauffer dans ses oreilles ; une fois de plus, son impulsivité allait le consumer, comme emporté par un courant surpuissant, et il allait se foutre dans une merde noire. Petra lui avait lancé un regard assassin, assez éloquent pour qu'il comprenne que ce n'était pas le genre de type à contrarier.

Il déployait des efforts colossaux pour réprimer le torrent d'injures qu'il voulait vomir sur le gorille ; sa narine gauche tressaillait, comme à chaque fois qu'il se heurtait à la frustration. Il n'avait qu'une envie ; envoyer ce type hors de l'orbite terrestre et reprendre tranquillement sa partie de blackjack. Seulement, le ton suppliant qui transpirait à chaque mot de Petra lui laissait penser qu'il valait mieux rester calme. Pour le moment.

Attends. "Majesté", avait-t-elle dit ? Pas possible. Ce type, là, c'était donc Jakarta ? Le saint patron des militaires ? En une année entière passée en Pangée, Kingston avait souvent entendu parler de lui, c'était bien normal. Pourtant, il était absolument certain de n'avoir jamais croisé ces traits de bûcheron dans les coins où il traînait, pas même lors de sa cérémonie de répartition. Il fallait dire que les Terres Rouges n'étaient pas le meilleur endroit pour vider un pack de bières entre potes au coin d'un bon feu.
C'était donc lui, hein. Il comprenait à présent le coup d'œil crépitant de haine que lui avait lancé compagne d'infortune.

Jakarta enchaîna, paisible dans sa furie. En un regard, on comprenait qu'il bouillonnait de l'intérieur, pareil à un cocotte minute, prête à exploser à tout moment.

"Tu serais étonnée à quel point je peux être tolérant, Petra. La franchise, Petra. La franchise !"

Il s'empara alors de l'arme dérobée et reprit son invective de plus belle.

"Donne-moi ça et trouve-toi autre chose à leur fournir pour tes pilules. T’as qu’à vendre ton corps tant qu’à faire. On fournit pas les autres clans, nous ! Surtout pas sans passer par moi. Que je t’y reprenne pas ou tu dégages chez eux, je suis bien clair ? "

Kingston avait beau se contenir, son exaspérante nature de tête brûlée reprit le dessus ; un esprit farouche qu'on ne dompte pas.  Il balaya la hiérarchie, la politique, le danger, les conséquences : à peu près toute forme de raison, en réalité. En entendant le roi des Robustes parler à Petra de la sorte, il se sentit les gonds sauter ; ce n'était pas une affaire d'amitié, non, c'était surtout le rebelle en lui qui voulait en découdre. Un haut gradé qui malmène un subordonné ? Robuste qui plus est ; peu de choses exaspéraient autant le malfrat des Terres Grises.

Avant même que Petra ne puisse l'arrêter, il déchaîna en cascade tout le mépris qu'il vouait à Jakarta, s'exclamant furieusement :

" Bon, Rambo, j'ai essayé de rester calme, mais ça va pas le faire. Peut-être que t'es un haut placé, une méga pointure dans ton petit écosystème de bodybuilders, mais ça te donne pas le droit de traiter les membres de ton clan comme de la merde, ok ? Surtout pas Petra."

Il s'approcha de lui, en chien de faïence, et leurs fronts s'entrechoquèrent. Kingston, toujours animé par son dégoût de l'autorité, plaqua ses mains contre le torse du colosse et le poussa violemment vers l'avant. Round 1, jeu, set, et match. Kingston savait pertinemment qu'il allait dérouiller : Jakarta ne laisserait jamais un tel affront impuni, en véritable Robuste.  Mais sa fierté mal placée était désormais maître de tous ses mouvements, et il ne répondait plus réellement de lui-même.

Des têtes se tournèrent. Parmi la clameur assourdissante du casino, on distinguait les murmures de quelques curieux, piaillant avec excitation : ils commençaient à ressentir le changement d'atmosphère, qui se chargeait en électricité.


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Kingston
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01/08/2020
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